Publié le 14 Mai 2025


AVIS UNSA ORIENTATIONS STRATEGIQUES

« Notre caisse régionale est en pleine transformation humaine et technologique.

Les orientations stratégiques, présentées par Mr Martin, le 19  février dernier est la suite de ce qui a été entrepris en 2024 .  Mr Martin nous a présenté le bilan de notre Caisse Régionale avec ses points forts et ses points faibles, tant sur l’aspect territorial que sur l’aspect commercial, financier ainsi que le maillage réseau, la réorganisation du siège et la construction des deux nouveaux sites. L’ensemble de ces constats a conduit le directeur général à donner ses orientations stratégiques pour l’année à venir :

L’année 2024 a été une très belle année commerciale et financière ainsi qu’un très bon dialogue social.

Sur le point de l’assurance, l’année 2024 a été exceptionnelle et doit se poursuivre en 2025.  Il est important de continuer à faire de la qualité tout en maitrisant l’attrition. Nous sommes conscients que c’est un relais majeur du PNB actuel.

La conquête doit être un axe majeur en 2025. Elle est au cœur du projet d’entreprise.

Les sites de Lille et d’Arras poursuivent leur transformation. Le montant de cet investissement global est de 120 millions. Nous devons réduire les charges, jusqu’en 2027, afin d’absorber l’amortissement du coup de cet investissement.   

La spécialisation des sièges se poursuit, nous devons être vigilant à ce que chaque salarié concerné trouve sa place dans cette nouvelle organisation.

Le maillage des agences démarre cette année, nous serons très attentifs sur le regroupement des agences dans l’intérêt des collaborateurs et des clients.

70 postes en 2024 ont été supprimés dans l’ensemble de la Caisse régionale et il en reste encore autant jusqu’en 2027. Même si Mr Martin nous explique la nécessité de ces suppressions de postes, nous regrettons cette situation en espérant que l’effectif se stabilisera.

Les primes commerciales misent en place de façon individuelle ne doivent pas mettre en péril l’aspect qualitatif de notre métier au quotidien.  Notre clientèle recherche avant tout une qualité de service et de conseil ce qui permettra de contrer l’attrition.  

Concernant l’IA, elle va s’intensifier dans nos métiers pour accompagner l’humain et non pour le remplacer.

Les filiales doivent continuer à se développer et accroitre la rentabilité.

La conjoncture actuelle économique et géopolitique est pesante sur le moral des collaborateurs et des clients. La stratégie proposée par notre directeur général est ambitieuse mais nous devons rester prudent dans les mois à venir sur l’évolution de la situation mondiale d’un point de vue politique et financier.

En conclusion, certaines orientations sont nécessaires pour le développement de notre entreprise. Mais cela ne doit pas passer uniquement par des investissements technologiques : le facteur humain, trop longtemps négligé, doit désormais faire partie de nos priorités.

L’UNSA donne un avis favorable »

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Rédigé par vos élus

Publié le 5 Mars 2025

Intéressement 2025

Chers collègues,

Nombreux d'entre vous nous interpellent concernant l'intéressement.

Grace à vos efforts, votre engagement et votre dévouement pour votre entreprise tout au long de l'année écoulée.

Effectivement au vu du résultat 2024 de l'entreprise et à l'accord négocié et signé en 2023, cette année l’enveloppe sera en augmentation et s’élève a un peu plus de 22 millions d’euros soit plus de 500k€ supplémentaires à l'année dernière.

Dans ce contexte inflationniste c’est une très bonne nouvelle pour l'ensemble

des salariés !! 

C'est à partir du jeudi 13 mars que vous pourrez consulter votre montant et effectuer ou non votre arbitrage. 

Nous restons à votre disposition. 

Votre TEAM UNSA

 

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Rédigé par vos élus

Publié le 4 Mars 2025

Des constats « alarmants » : le grand blues des salariés des banques

Un salarié sur deux estime ne pas avoir les moyens nécessaires pour réaliser un travail de qualité et ressent une absence de reconnaissance professionnelle. (iStock)

Le spleen n'est pas seulement hivernal pour les salariés de la banque. Depuis plusieurs années déjà, le moral de la profession est en berne, et cela ne s'arrange pas, selon une étude réalisée fin 2024 par le Syndicat national de la banque et du crédit (SNB) avec l'aide du cabinet Sextant.

 Quelque 9.616 adhérents ont répondu à cette enquête triennale sur les risques psychosociaux dans la banque, un nombre record de participants depuis son lancement il y a quinze ans, et un taux en hausse de 30 % par rapport à la précédente édition.

Épuisement professionnel, reconnaissance et sens du travail, relation avec les clients, contraintes d'organisation : tous les voyants sont au rouge. 

Les personnes interrogées dressent « des constats alarmants pour la santé des salariés du secteur bancaire ». Près de 44 % des répondants présentent un risque élevé ou très élevé de burn-out, bien au-dessus des niveaux observés dans d'autres secteurs, pointe l'étude. De son côté, la Fédération bancaire française (FBF) conteste une telle enquête qui s'appuie « sur moins de 4 % de répondants générant de facto des biais importants. »

Les stress de « la réponse immédiate »

Un salarié sur deux estime ne pas avoir les moyens nécessaires pour réaliser un travail de qualité et ressent une absence de reconnaissance professionnelle. L'intensité et le temps de travail ressort comme un facteur de risque prépondérant avec une exposition très élevée à de nombreuses problématiques (complexité du travail, rythme de travail, interruption de tâches, etc.). Les répondants de la Société Générale sont ceux qui présentent les résultats les plus dégradés tandis que ceux du Crédit Mutuel sont les mieux lotis.

Les promesses d'efficacité et de simplification se heurtent à une réalité d'augmentation des charges administratives et de baisse des moyens humains

Syndicat national de la banque et du crédit (SNB) 

« Les transformations organisationnelles et technologiques, flex office, réduction des effectifs, digitalisation des services, pèsent lourdement sur les salariés. Les promesses d'efficacité et de simplification se heurtent à une réalité d'augmentation des charges administratives et de baisse des moyens humains, faisant des salariés la 'variable d'ajustement' du secteur », regrette le SNB.

« D'un côté les nouvelles technologies sont venues alléger le travail mais de l'autre, il faut s'adapter en permanence. Par exemple, il y a régulièrement des phases de tests de 3 à 6 mois pour de nouveaux outils qui ne seront pas toujours conservés », constate Béatrice Lepagnol, secrétaire générale adjointe CFDT Banques. « L'instantanéité » a aussi renforcé la pression sur les équipes. « Les clients attendent une réponse immédiate lorsqu'ils envoient un mail ou un SMS. » Béatrice Lepagnol évoque aussi le problème des heures supplémentaires non rémunérées et la difficulté à recruter. « Lorsque les agences sont fermées le lundi, certains salariés passent du temps à répondre aux mails ou à des formations en ligne obligatoires en dehors des heures de travail. »

Poids de la réglementation et tâches administratives

Un autre grief porte sur l'empilement des réglementations. Neuf salariés sur dix jugent que les contraintes réglementaires ont augmenté, alourdissant considérablement leur charge de travail. « L'impact des contraintes techniques, procédures ou normes de production sur le rythme de travail est le plus élevé depuis 2011 », indique l'étude. Le SNB appelle ainsi à réduire les « contraintes réglementaires inutiles et les charges administratives ». Selon le bilan publié fin 2024 par l'Association française des banques (AFB), c'est-à-dire toutes les banques qui ne sont pas mutualistes, les formations réglementaires ont représenté 2,2 millions d'heures en 2023 (+15 % par rapport à 2022).

Le mal-être des salariés est souvent plus profond. 40 % des salariés ont parfois peur au travail et plus de la moitié sont confrontés à des tensions avec les clients ou des personnes en situation de détresse. Les salariés en « front office » (aux guichets) ou dans les centres d'appels restent les plus exposés à ce type de stress au moment où la pression s'accentue sur les fermetures d'agences.

La baisse du pouvoir d'achat et le fléau des incivilités expliquent en partie ce constat. « Les banques ont toutes mis en place des mesures et des accords de qualité de vie au travail. Elles mènent une politique globale à l'égard de leurs salariés pour que ceux-ci puissent travailler dans les meilleures conditions possibles », se défend la FBF.

Incivilités et « violences numériques »

« La sécurité du personnel est une priorité pour la profession. Elle fait l'objet d'un suivi annuel avec les organisations syndicales. Deux ans après la signature d'un nouvel accord sur la sécurité dans les agences bancaires, la branche de la banque a complété le dispositif avec un nouvel accord sur la prévention des incivilités, qui inclut notamment le sujet des violences numériques et via les réseaux sociaux », ajoute le porte-voix du secteur.

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Réorganisations et rigueur salariale plombent le moral à la Société Générale

Si le phénomène des incivilités reste stable en 2023 (moins de 3 % de salariés concernés), dans un contexte économique tendu, les banques poursuivent leur vigilance. « Les incivilités sont devenues courantes. Souvent les salariés des banques s'y sont habitués et ne les déclarent plus », observe de son côté Béatrice Lepagnol. « Nous les encourageons à se manifester ».

Pour s'éloigner de mauvaises conditions de travail en présentiel, un répondant sur deux souhaite télétravailler, selon l'étude. Les salariés de BNP Paribas et de la Société Générale semblent avoir un meilleur accès au télétravail et au flex office (bureaux non attribués). Ils sont aussi surreprésentés parmi les répondants qui évoluent dans des espaces ouverts comptant plus de 15 personnes. Parmi les quelques points positifs de l'enquête, le grief du manque d'autonomie et de marges de manoeuvre est en léger recul par rapport à 2021.

Article des échos février 2025 

 

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Des constats « alarmants » : le grand blues des salariés des banques

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Rédigé par vos élus

Publié le 17 Janvier 2025

Belle année 2025

Que cette année soit belle pour vos projets et pour nos combats partagés pour le social, la dignité et le respect dû à celles et ceux qui travaillent. 

La pente prise depuis plusieurs années nous éloigne de nos idéaux et creuse les inégalités. Nous devons obtenir une meilleure répartition des richesses que nous produisons.
Faire des vœux, au regard de ceux des années passées peut sembler acrobatique et peut-être naïf. Pourtant, ils sont essentiels, au sens de ce qui nous constitue, nous syndicalistes, militants et citoyens. 
Faire des vœux, c’est assumer d’être un combattant du présent, lucide et bien planté dans la réalité. Mais faire des vœux, c’est aussi transformer les injustices et les colères en énergie positive pour exiger, revendiquer et obtenir. 
Nos vœux, sont essentiels et définissent notre démarche. Nous sommes des producteurs d’espérance. Nous croyons fermement aux jours heureux que nous bâtirons.
A nouveau, donc nous vous souhaitons que 2025 vous amène les fragments et éclats du bonheur auquel nous aspirons.
 

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Publié le 24 Décembre 2024

Négociations nationales 2025


Les organisations syndicales et les représentants des caisses régionales n’ont pas trouvé d’accord sur la politique salariale pour 2025.
Sur décision unilatérale de la direction, les salariés bénéficieront d’une augmentation générale mais celle-ci sera bien moindre que celle de l’an dernier.
Deux jours après la nomination d’un nouveau patron à la tête du groupe,Olivier GAVALDA,  les représentants des caisses régionales avaient rendez-vous, ce jeudi, avec les syndicats pour définir la politique salariale pour 2025. Lors d’une ultime réunion de deux heures trente, entrecoupée de cinq suspensions de séances, aucun accord n’a pu être signé.


Sur décision unilatérale de l’employeur, les quelques 75.000 salariés des caisses régionales bénéficieront d’une augmentation collective de 0,6 % applicable au 1er janvier 


Cela reste nettement inférieur à la hausse générale de 3,5 % obtenue l’an dernier.

D’autant que les syndicats s’étaient résignés à demander cette année une augmentation collective de 1 %.

Les salariés du Crédit Mutuel demeurent les mieux lotis. Ils bénéficieront de 1,5 % de hausse généralisée l’an prochain. Le mutualiste reste fidèle à sa réputation de banque la plus généreuse lors des NAO

 

Sur cette dernière actualité de l'année 2024 nous vous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d'année 

Prenez soin de vous 

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Publié le 29 Juillet 2024

Nouveaux cas de déblocage des PEE

 

Le ministère du travail, de la santé et des solidarités a publié le 6 juillet dernier le décret no 2024-690 du 6 _juillet 2024 portant transposition de diverses mesures prévues par l'accord national interprofessionnel du 10 février 2023 relatif au partage de la valeur au sein de l'entreprise.

 

Celui-ci indique de nouveaux cas de déblocages de PEE qui viennent compléter la liste actuelle.

 

Le texte ouvre trois nouveaux cas de déblocage anticipé des sommes placées sur un PEE (plans d'épargne entreprise), conformément à l'article 33 de l'ANI du 10 février 2023.

 

Lorsque le bénéficiaire n'a pas opté pour la disponibilité immédiate de ses droits, il peut depuis le 7 juillet 2024 demander leur déblocage anticipé en vue:

  • de contribuer à l'achat d'un véhicule utilisant l'électricité, l'hydrogène ou une combinaison des deux comme source exclusive d'énergie (camionnette, voiture, 2 ou 3 roues, quadricycles à moteur), cycle à pédalage assisté neuf 
  • Affectation à des travaux de rénovation énergétique de la résidence principale.
  • Soutien d'un proche aidant exercée par l'intéressé, son conjoint ou son partenaire lié par un pacte civil de solidarité. Cette dernière faculté de déblocage peut intervenir à tout moment et n'a donc pas à être demandée en respectant un délai de six mois.

A bientôt 

La TEAM UNSA

 

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Publié le 15 Juillet 2024

Pendant la période de congés nous restons à votre disposition par mail : ndfunsa@gmail.com

La TEAM UNSA

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Publié le 25 Mars 2024

Bonjour à tous, 

Beaucoup de changements à venir, voici un compte rendu de la réunion des managers pour que chacun soit au même niveau d'information.

Bonne lecture et si besoin n'hésitez pas la TEAM UNSA est là 

 

ps : n'oubliez pas de réserver vos cheques vacances sur le site CE (date limite 14/04)

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Publié le 18 Mars 2024

INTERESSEMENT 2024

INTERESSEMENT ANNÉE 2023

 

Du 07 au 21 mars 2024

Bonjour à tous,

 

Il y a 9 mois l’accord d’intéressement été signé.

C’est cet accord et grâce à l’investissement des équipes au quotidien qui fait qu’aujourd’hui avec le résultat 2023 de la caisse régionale, l’enveloppe d’intéressement est enrichie

d’1,84 M€ supplémentaire.

En moyenne cette valeur va donc augmenter de 7,17% le montant distribué aux salariés.

Nous pouvons nous féliciter du travail effectué par tous et également de ce très bon accord !!

N'oubliez pas de faire votre choix de placement avant le 21/03 

 

Pour information cette situation n'est malheureusement pas le cas pour l'ensemble des CRs.. 

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